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Sophrologie
  • DEFINITION

La sophrologie est une science humaine, une philosophie et un art de vivre. Elle a pour vocation la prise de conscience de la conscience par elle-même. Pour se faire elle utilise des états de conscience modifiés dits états sophroniques. L’ensemble des techniques organisées en processus pédagogique fait de la sophrologie une véritable méthode de développement personnel. Le mot sophrologie est bâti sur des racines grecques, son étymologie est la suivante :

« sos » harmonie, « phren » conscience et « logia » étude.

Ainsi la sophrologie peut aussi se traduire comme étant l’étude de la conscience en harmonie. Il faut entendre le mot conscience comme la force qui intègre tous les éléments physiques et psychologiques de l’homme. A l’instar de la phénoménologie, la sophrologie n’accepte pas la dualité corps-esprit et ne peut pas étudier la conscience selon la seule vision cartésienne. Pour la sophrologie, l’homme est un tout indissociable, un phénomène holistique en relation étroite avec l’univers. Pour le professuer ROJO SIERRA

« La conscience est la force de captation et d’intégration des différents éléments de l’univers ».

Finalement, la sophrologie peut se définir comme étant à la fois, l’étude de la conscience humaine, la pratique d’une discipline existentielle, la défense d’une philosophie humaniste et transcendante.

« Qui sépare l’esprit du corps se condamne, le matin à deux réveils, la nuit à deux sommeils, quand ce n’est pas à deux insomnies ». Jean GIRAUDOUX

  • OBJECTIFS

L’objectif de l’entraînement sophrologique est premièrement d’acquérir et maîtriser des techniques, enjeu d'une transformation personnelle conduisant: au calme, à la lucidité et à la joie communicative de vivre. Deuxièmement de développer son expérience sophrologique dans la vie au quotidien afin d’optimaliser les potentialités et les acquis cognitifs de chacun. En outre, l’analyse existentielle d’une part et l’analyse phénoménologique d’autre part, conduirons le pratiquant a l’acquisition de la trilogie : responsabilité, autonomie, authenticité.

  • AXIOLOGIE

L'axiologie, fil guide qui organise la conduite des entraînements sophrologiques, privilégie la recherche du positif en toutes circonstances, avec pour objectif le conditionnement de la conscience. Le but, focaliser cette dernière sur ce qui est bon pour nous au détriment de ce qui est moins bon, pour donner naissance à un nouveau réflexe : « le réflexe positif. » Ce dernier consiste à dynamiser le positif le plus possible au cours de notre existence plutôt que de rester focaliser sur le négatif. C’est au cours des entraînements sophrologiques que l’on apprend à repérer et structurer les sentiments agréables en partant de l’idée qu’il n’y a que très rarement uniquement du négatif dans les situations que nous vivons. Par ailleurs, il convient de poser l’attention sur toutes les petites choses positives en cours de journée. Ce reflexe difficile à mettre en place fait appel à la capacité à revenir sur soi.

  • HISTORIQUE

Le professeur Alfonso CAYCEDO est né à Bogota en Colombie. Il vient en Espagne faire ses études de médecine et se spécialise en psychiatrie dans le service du professeur LOPEZ-IBOR à Madrid. Lors de la mise en place des comas insuliniques et des électrochocs, il se rend compte de la fragilité de la conscience. Las de telles pratiques maltraitant la conscience humaine, il cherche des techniques moins violentes. Il s’intéresse au magnétisme, à la relaxation et rencontre l’hypnose médicale. Il prend conscience que les phénomènes mis en exergue par l’hypnose ne sont à priori ni rares ni extraordinaires mais simplement des éléments enfouis dans une sorte de conscience immergée. C’est alors, qu'il tourne le dos à sa carrière universitaire pour étudier la phénoménologie avec le professeur L BINSWANGER en Suisse. A ce moment s’élabore dans l’esprit de CAYCEDO le concept de sophrologie. Il considère que l’histoire de l’humanité est une lutte permanente face à la thaumaturgie et la pensée magique. Pour positionner sérieusement son concept, il s’inspir du grec ancien pour élaborer la sémantique de la sophrologie. En effet, si l’humanité connaît des mythes et si les rites sibyllins ont permis de palier à l’incompréhensible, les philosophes et savants Grecs n’ont eu de cesse de s’intéresser à la réalité et se servir de la rationalité pour aller à la conquête de la science et l’opposer à la pensée magique. Ainsi, CAYCEDO inscrit la sophrologie dans le cadre des sciences et tourne le dos à toutes les interprétations magiques. Cependant, CAYCEDO s’est aussi abreuvé des sciences orientales, car à la fin de son séjour en Suisse, il entame un périple de plusieurs années qui le conduira de l’Inde en Chine et au Japon via le Tibet. Il étudie lors de ces séjours les différentes disciplines enseignées dans ces pays. Il découvre les savoirs concernant la perception de la corporalité, la gestion des émotions et le développement de l’intuition. De retour en Europe, il élabore des techniques physiques et mentales dépouillées de toute sorte de religiosité et propose la pratique d’exercices simplifiés accessibles à n’importe quels occidental. On peut donc considérer que la sophrologie est une science au carrefour du savoir occidental et du savoir oriental avec pour ciment l’interrogation phénoménologique. Cependant, cette historicité est purement Caycedienne. Le professeur CAYCEDO quitte l’Europe de nombreuses années en confiant le développement de la sophrologie aux premières personnes qu’il a formées notamment au docteur DAVROU qui crée la Fédération Européenne De Sophrologie, aux docteurs DONNARS et HUBERT qui créent la Société Française de Sophrologie, au docteur ABRESOL qui crée sa propre école en Suisse. Ces derniers à leur tour vont essaimer et l’on assiste alors à l’épanouissement et l’enrichissement de la sophrologie par la multiplication des écoles. CAYCEDO qui se sent frustré de ne pas être le seul représentant de la sophrologie à son retour de Colombie se sépare de ses mousquetaires et rebaptise sa sophrologie « sophrologie Caycedienne ». Pourtant de nombreux chercheurs continuent à faire évoluer et vivre la sophrologie pour le plus grand bien de tous. Dire que la sophrologie qui ne serait pas enseignée dans les écoles sous l’égide de CAYCEDO n’est pas la sophrologie reviendrait à dire que la psychologie non Freudienne n’est pas la psychologie.

  • CONSTRUCTION PEDAGOGIQUE

Les différents niveaux de travail sont pédagogiquement organisés de façon distincte pour une évolution optimum. Chaque niveau demande un temps de travail personnel et de maturation des apprentissages. La méthode pédagogique alterne : des apports théoriques, des pratiques de techniques en rapport avec chaque niveau d'étude. En outre, elle sollicite une analyse réflexive sur le propre fonctionnement de chacun et l’étude de savoirs parallèles complémentaires.

Le premier niveau

Orienté sur l’information sensorielle, ce niveau est celui des bases fondamentales. II permet la découverte corporelle et sa fine connaissance. Cette démarche confère, à chaque instant, l’intégration renouvelée du schéma corporel par l’acquisition et l’intégration de la RDC (relaxation dynamique de CAYECEDO). Avantages: Capacité de juguler peurs et angoisses.

Le deuxième niveau

Par l'apprentissage du ressentir et la maîtrise des émotions, ce niveau est celui de la maturité affective. Sa pratique permet de se programmer "gagnant" dans les démarches et actions. Dès lors, l’acquisition et l’intégration de la RDC II, favorise le renforcement de la bonne image de soi. Avantages: élimination définitive du stress négatif, développement du goût d'entreprendre.

Le troisième niveau

Basé sur le développement de l'intuition, il permet d’éveiller l’imagination créative, d'activer les circuits neuronaux d'apprentissage et des fonctions mnésiques. C'est aussi la mise en place d'un reconditionnement des structures dynamiques par la restructuration positive de la mémoire et l’acquisition et l’intégration de la RDC III. Avantages: Acquisition de la spontanéité dans la juste expression, en accord avec nos pensées les plus profondes. Possibilité accrue d'appréhender les phénomènes complexes.

Le quatrième niveau

Axé sur l’approfondissement phénoménologique de la sophrologie, ce travail apprend à porter un regard différent sur les événements, les êtres, les choses et ainsi participe au développement de la capacité à dépasser ses propres expériences. Par ailleurs, la pratique d’exercices de connaissance de soi ouvre la conscience à la reconnaissance des facettes cachées de la personnalité et conduit ainsi à la conscience "dévélée" par l’acquisition et l’intégration de la RDC IV. Ce travail s’appuie sur la double analyse: existentielle et tridimentionnelle. Avantages: Meilleure connaissance de soi et meilleure connaissance des autres. Acquisition du recul qui confère la compréhension de l’inattendu.

L’acquisition solide de ces niveaux permet aux personnes les plus motivées, de reprendre les processus de façon affinée et de cheminer sur des plans qui ne manqueront pas de se montrer des plus riches et des plus surprenants.

  • DEVELOPPEMENT PERSONNEL

Comment la sophrologie participe-t-elle au développement personnel ? Bâtie sur l'emploi de méthodes d’entraînements ayant pour but l’harmonie de l'individu, tant sur les plans physique et émotionnel que sur le plan psychologique, il est facile de concevoir les progrès auxquels chacun peut accéder. Pour ce faire, c’est la conscience qui dans son exercice d’intention et d’organisation de son énergie va créer les phénomènes. La conscience peut s’organiser de manière concentrative, contemplative, réflexive, transcendante.

1- La conscience organise son énergie de façon concentrative.

La prise de conscience de l’être à travers la fonction sensorielle nous permet de nous concentrer sur notre corps, de l’appréhender en tant qu’objet observable. Sur le plan phénoménologique elle nous permet de nous sentir corporellement, de nous vivre en tant que réalité vécue au présent et d’intégrer le schéma corporel.

2- La conscience organise son énergie de façon contemplative.

Le premier stade acquis, l’émotion va s’associer naturellement à la fonction sensorielle et forger la fonction sentiment. La conscience devient alors le propre objet de son observation. Sur le plan phénoménologique on accède à la perception de la gravitation et du mouvement, on affine positivement l’image spéculaire qui, associée au schéma corporel, conduit au schéma existentiel, c’est-à-dire la capacité à se voir et se sentir dans tout acte de la vie.

3- La conscience organise son énergie de façon réflexive.

La prise de conscience de l’être à travers la fonction intuitive conduit à la réflexivité de la conscience sur elle-même et ceci dans sa globalité. Dès lors, la conscience « est », et, la conscience est consciente d’elle-même. La réflexivité est le ferment de l’intentionnalité. Sur le plan phénoménologique, on acquiert la perception globale de l’être et de ce qui l’entoure.

4- La conscience organise son énergie de façon à vivre une initiation à la transcendance.

La détermination de l’être dans l’univers comme transcendant se construit après un cheminement abouti ; c’est-à-dire par la pratique régulière aux niveaux précédents d’une part et d’autre part, par l’intégration des valeurs et phénomènes qui les sous-tendent, ainsi que des sept valeurs fondamentales définies par le fondateur de la sophrologie (moïté, groupeïté, société, humanité, universalité, éternité et divinité). Sur le plan phénoménologique on peut alors accéder à la « vivance phronique des valeurs ».

Le cheminement que propose la sophrologie s’inscrit dans le cadre des grandes initiations. Ce cheminement n’a pas de fin, il permet par conséquent un progrès permanent qui confère espoir et espérance. La sophrologie s’inscrit dans le même courant que la psychologie humaniste parce que centrée sur la personne, avec en plus une ouverture totale sur le monde et l’univers.

  • RESOLUTION POSSIBLE DE PROBLEMES PERSONNELS

La sophrologie est la science humaine de l’harmonie de la conscience. Sa pratique est favorable à la santé et permet la régulation de certains problèmes psychosomatiques, émotionnels, voire psychologiques. En outre, l’entraînement sophrologique confère: stabilité d’humeur, maîtrise du stress et dès lors permet des programmations mentales positives pour de nombreuses circonstances. Pour illustrer les possibles régulations, voici une petite histoire vécue réellement.

Quand Jeanne dix ans, accompagnée de sa maman, vient consulter le sophrologue, elle se plaint d’angoisse lors de l’exercice de sa pratique sportive et plus particulièrement lors des compétitions. D’un commun accord, dans le cadre de ce que l’on nomme l’alliance sophrologique, le sophrologue lui propose un plan de travail qui consiste en séances d’apprentissage des bases nécessaires pour pouvoir mettre en place dans un second temps une préparation mentale. Dès la première séance Annaelle se sent mieux, à la troisième séance elle ne souffre plus de ses angoisses, et la maman dit : « Vous savez, Annaelle a retrouvé le sommeil ! » Ah bon ! dit le sophrologue surpris, vous ne m’aviez pas parlé de ses problèmes de sommeil. Deux séances plus tard, Annaelle va parfaitement bien et est prête à aborder la stratégie de préparation mentale et la maman dit : « Vous savez, Annaelle mange de nouveau ! » le sophrologue reste bouche bée, La maman : « ah ! J’avais oublié de vous dire quelle était anorexique ». La préparation mentale est maintenant bien engagée, et lors d’une des dernières séances la maman très joyeuse annonce au sophrologue : « vous savez, Antoine le petit frère d’Annaelle (il est de quatre ans le benjamin), il ne fait plus d’asthme. Le sophrologue s’en voit ravi, mais signifie à la maman qu’il ne comprend pas en quoi il y serait pour quelque chose. La maman : « mais si, les exercices de respiration que vous faites faire à Annaelle, elle les fait faire à Antoine et depuis il va beaucoup mieux ». La maman remerciera chaleureusement le sophrologue. Quant à ce dernier, on peut imaginer sa stupéfaction et sa satisfaction, d’avoir pu rééquilibrer Annaelle en appliquant simplement un protocole des plus classiques en sophrologie. Sans doute même aurait-il orienté Annaelle vers un psychothérapeute si la mère avait annoncé dès la première consultation tous les troubles dont elle souffrait.

On peut conclure cette anecdote en soulignant la puissance de régulation qu’offre une sophrologie bien conduite et que dans le cas d’Annaelle, tous les troubles étaient liés à son état anxieux, les entraînements de sophrologie ont été suffisants pour rééquilibrer le bon fonctionnement de cette dernière.

  • ENTRAINEMENT ET ART DE VIVRE

La sophrologie est certes une science intéressante sur le plan intellectuel et de l’étude, en revanche les bénéfices que l’on peut attendre ne sont accessibles qu’à travers des entraînements quotidiens. C’est le prix à payer pour évoluer et se transformer c’est-à-dire devenir soi-même en accord avec son être profond. Tout d’abord, il est indispensable de connaître et maîtriser les techniques de sophrologie, cette étape ne peut se faire qu’avec l’aide d’un sophrologue dûment formé. Très rapidement le sophrologue invite les apprenants à reconduire seuls les séances réalisées lors des cours. Au début les personnes peuvent rencontrer des difficultés : ne pas se trouver un espace de temps, ne pas pouvoir s’isoler suffisamment, ne pas se sentir motivées ou encore ne pas réussir à se sophroniser seulse. Ces difficultés rencontrées en cours d’apprentissage sont normales, surtout, il faut ni se décourager ni se culpabiliser. Bien sûr, à chaque séance le sophrologue va vous inciter à vous entraîner, parfois même il vous interrogera sur votre pratique, c’est son travail et tant mieux s’il ne fait pas l’impasse sur cet exercice ; mais c’est simplement pour vous stimuler parce que lui-même est passé par ces phases. Puis après quelques semaines, voire quelques mois pour les réfractaires, quand on commence à sentir que l’on progresse et que la vie devient plus légère, la pratique personnelle va être de plus en plus aisée. Quand on arrive au stade où l’on retire des gratifications des entraînements, non seulement la pratique ne pose plus problème mais de surcroît la sophrologie fera partie de notre vie. Si par hasard on doit rester un temps sans entraînement pour x raisons, les premières turbulences ressenties laisseront une impression désagréable que l’on souhaitera dissiper au plus vite par la pratique à nouveau de la sophrologie. Parallèlement aux entraînements de base, il est conseillé dès les premiers temps de l’apprentissage d’utiliser de petits exercices au quotidien et dans toutes les circonstances où cela est possible. Ceci afin d’éviter l’envahissement par les émotions, la fixation des tensions psychosomatiques ou encore l’agitation mentale. Il est également très important de s’habituer à ressentir le positif dans son corps (sensation de bien-être), de repérer toutes les petites choses agréables de la vie et de se concentrer sur ce qui « est » au détriment de ce qui « n’est » pas. Les entraînements et les petites pratiques ponctuelles, vont à terme s’associer pour devenir un art de vivre, enjeu d’une harmonisation personnelle conduisant au calme, à la lucidité et à la joie communicative.

  • CONCLUSION

Au quotidien, sans prêter attention, beaucoup de personnes se laissent atteindre par la plainte due aux déséquilibres et malheurs du monde, quand ce n’est pas par la cohorte de souffrances qui affecte les uns et les autres. Il y a là de quoi contracter un vertige délétère propre à la construction d’une vie de peur, d’angoisse et de mal être. L’antidote de cette façon de fonctionner est proposé par la sophrologie. Au lieu de se comporter comme des éponges émotionnelles, la pratique de la sophrologie apprend à chacun à construire ses propres frontières. Au lieu de sombrer dans la pensée négative, elle invite à forger du positif. Ceci est réalisable parce qu’au quotidien, en général, chaque personne ne subit qu’un petit nombre de désagréments et qu’avec un peu de force mentale il est possible de s’approprier la loi : « la conscience a la capacité d’écarter des possibles du tout », à savoir écarter des petits négatifs du positif global de notre vie.

« Il n’y a qu’une seule maladie : l’inconscience ». AUROBINDO

L’entraînement régulier à la sophrologie génère la capacité de transformer notre façon de voir, de développer l’amour de soi, la richesse intérieure et la bienveillance. Enfin, la pratique de la sophrologie s’inscrit dans un programme personnel de changement avec pour quête la santé, l’enthousiasme et le bonheur.

  • BIBLIOGRAPHIE

ABC de la sophrologie - Brigitte DRETZ - éd GRANGER

Anatomie de la conscience anatomie sophrologique - Dr Miguel GUIRAO - éd MALOINE

Force Vitale - Paule VERN - DESCLEE DE BROLUWER

L’aventure de la sophrologie - Alfonso CAYCEDO - éd Le MOUSTIER

L’intelligence émotionnelle -Daniel GOLEMAN - éd J’ai lu

La conquête de la conscience - Dr Yves DAVROU - Jean GODARD - éd Le MOUSTIER

La neuropsychologie de la sophrologie - Dr Miguel GUIRAO - éd MEDIA-SYS-TIQUE INC

La place de la sophrologie dans l’avenir de notre société - 4e Congrès de la SFS - L’HARMATTAN

La sophro-analyse -Alain HERIL - éd BERNET DALINO

La sophro-dynagogie - Dr Yves DAVROU - éd RETZ

La sophrologie - Bernard ETCHELOU - éd INTER EDITIONS

La sophrologie ou le pouvoir des images en psychothérapie - Benoît FOUCHE - éd L’HARMATTAN

La sophrothérapie - Dr Yves DAVROU - éd RETZ

Le désir et la force - Paule VERN - DESCLEE DE BROLUWER

Le TAO de la sophrologie - Ken Mac KELVEY - éd DELACHAUX NIESTLE

Le training autogène - TH SCHULTZ - PUF

Les cahiers pédagogiques de la FEDS - éd Le MOUSTIER

Sophrologie fondement et méthodologie - Dr P A CHENE - éd ELEBORE

Transformer notre vie par la sophrologie - Thierry LOUSSOUARN - éd DANGLES

Vivre avec soi se découvrir et se connaître par la sophrologie - Ghislaine LE GUEN - éd MA EDITIONS